L’innovation en question

La semaine dernière, je suis allé à un séminaire en Italie, séminaire entreprise une discussion a mis en évidence comment celles-ci sont généralement décriées. En effet, elles encouragent presque systématiquement de bouleversements économiques. Par exemple, le télégraphe a été promis à s’effacer avec l’avènement du téléphone. Les matières synthétiques sont venus supplanter le bois et le métal, etc.
Une personne a parfaitement illustré ce caractère double face du progrès. Il s’est pour cela appuyé sur un objet courant : le smartphone. Un objet qui combine un téléphone, une bibliothèque, un appareil photo et un petit ordinateur. Il prend non seulement moins de place, produit de meilleures performances, ne réclame moins de travail d’assemblage et réclame moins de matériaux. a, comme on peut l’imaginer, représenté une vraie catastrophe pour nombre d’entreprises : producteurs de CD, disquaires, producteurs d’appareils photos polaroid ou de téléphones fixes. En ce qui concerne la rentabilité et d’emploi dans ces industries, le smartphone a été un désastre intégral. Pourtant, en chassant tous ces appareils, il nous a fait gagner en confort de vie. C’est là tout le paradoxe du progrès ». Les innovations amènent une révolution et une hausse du niveau de vie pour chacun mais confrontent également les industries en place face à des problèmes, leur font essuyer d’importantes pertes ou les conduisent à disparaître. L’enrichissement de la richesse apparaît évidemment à terme ; au début pourtant, ce sont avant tout les effets néfastes qui subjuguent : certains employés de ces industries vieillissantes se voient privés de travail à cause de l’innovation. Des entreprises d’ameublement qui disparaissent après l’essor d’IKEA. Les petits magasins d’articles de sport ferment leurs portes suite à la réussite de grands distributeurs ou de boutiques en ligne. Ceux qui perdent cette lutte en matière de concurrence réprouvent essentiellement un œil sévère sur les nouveaux entrepreneurs. C’est pourquoi le progrès, malgré son indiscutable utilité, est au départ très souvent regardé comme un recul.

Lles nouvelles technologies favorisenst à la richesse de croître et à notre société de prospérer. Mais cela se fait certes jamais sans soubresauts. Derrière l’augmentation structurelle de la richesse s’accompagne nécessairement de difficultés pour des groupes de personnes qui se retrouvent leur travail.
La morale de ce séminaire au Canada : La création est inhérente à la destruction. Aider les secteurs en difficulté à coup de subventions est par conséquent vain , car celles-ci sont vouées au trépas. Les sommes colossales perdues dans ces industries ne fait que repousser leur fin, quand ils auraient pu servir à développer les secteurs montants. Quand elles sont réparties en dépit du bon sens, les subventions du gouvernement troublent ce mécanisme de destruction/création.